L’ambiance pop-rock vintage assumée du trio, le look de la chanteuse, l’énergie scénique nous plongent alors dans un monde bariolé, léger, sexy, joyeux, libre, propre à l’insouciance de cette époque.
Une ambiance retrouvée grâce à la métamorphose des sons sixties accordés aux sonorités d’aujourd’hui, tout en faisant la part belle aux « vrais » instruments.
KATIA, dont la beauté naturelle nous rappelle une certaine égérie des années 60, interprète avec volupté, et une énergie à revendre, ses chansons en français coécrites avec ALAIN.
Sous le prisme de la légèreté, du deuxième degré, de l’humeur mutine, les mélodies délicieusement accrocheuses dévoilent souvent de jolis textes qui abordent des sujets pas si légers, propres à notre monde actuel.
On devine alors les influences de Serge Gainsbourg, Georges Brassens, Alain Souchon pour les textes, et les influences « beatlesiennes » et de Vitalic, entre autres, pour la musique.
Leur premier album, Kaleidoskop, remarqué par France Bleu Hérault et France 3 Occitanie, leur donne l’opportunité de faire de nombreuses premières parties (Manau, Kyo, Amel Bent…).
Les chansons de LADY SHERLOK sont de petits desserts sucrés-salés à la mode britannique, mais cuisinés par des « frenchies » expérimentés ; intelligemment pensées, on les consomme sans date de péremption et sans aucune contre-indication. Un délice, un remède efficace contre la dépression et la morosité !