MÉLISSA BAISSIÈRES commence à écrire des poèmes dès l’âge de 9 ans ; à 14 ans, poussée par sa grand-mère, elle prend des cours de musique et de chant. Sa destinée se dessine peu à peu : c’est décidé, elle sera chanteuse.
Pour faire ses armes, elle se lance d’abord en solo, avec sa guitare ; en 2019, après un long voyage en Asie, MÉLISSA revient en France avec des mélodies, des textes qui ne demandent qu’à vibrer, il est grand temps alors de trouver des musiciens pour l’accompagner et de trouver un nom qui lui colle à la peau.
JOLIE MÔME, c’est aussi un symbole reconnaissable entre tous, un large bandeau rouge sang entoure les yeux noisette de MÉLISSA et dévoile la forte personnalité de la jeune chanteuse-guitariste, sensible, vraie, rebelle et incisive.
Non contente de réveiller nos esprits, nos cœurs, JOLIE MÔME réveille également nos oreilles avec de belles mélodies accrocheuses sur des musiques teintées de folk, d’une valse ou d’un tango revisités, modernisés sur son tout premier album sorti en 2023, « Legoland » dont les influences musicales nous rappelle un peu Ala.ni ou Asaf Avidan… ; pour les beaux textes en français, les influences sont bien évidemment Léo Ferré, Barbara, Brel, mais également Mano Solo, Noir Désir…
Pendant ses tournées hexagonales avec pas loin de 150 concerts, en à peine 3 ans, Mélissa prend sa plume acérée pour mieux trancher nos faiblesses, nos manques, nos blessures profondes.
Son deuxième album « Le Verrou » emprunte alors un tout nouveau chemin musical, faisant cette fois-ci la part belle à l’électro-pop, au rock, au rap et au trip hop et souligne dès lors un style redoutablement efficace.
« Le Verrou « est un hymne, un drapeau qui creuse son sillon entre rythmes tantôt ondoyants, tantôt frénétiques, un étendard coloré de synthés et de guitares mélancoliques portant des messages pleins d’espoirs. Une vision du monde crue, mais résolument sincère.